Comprendre comment l’anxiété vient du désengagement
Article niveau 1 : facile à lire.
« Quand quelqu’un se noie on jette une bouée, parfois ils la prennent mais parfois ils n’en veulent pas. »
Décryptons ici le lien entre crise de l’engagement d’une part et augmentation de l’anxiété d’autre part. 😉
Les clients qui me font confiance me permettent d’œuvrer à la méthode PerfectA dont les résultats peuvent vous aider. Voici comment.
Le désengagement : des chiffres qui font froid dans le dos.
Que ce soit dans nos relations, professionnellement ou dans le recherche de performance sportive la clef de la stabilité c’est s’investir, comme une promesse d’évolution permanente, gage de satisfaction, épanouissement et prospérité. C’est à dire réussir son existence.
Dans cet article, un peu de sociologie et de statistiques sur différentes étapes de vie qui demandent de savoir s’engager. En passant par l’adolescence, le couple moderne et l’évolution du marché du travail.
Aujourd’hui, il faut apprendre à faire face aux enjeux nouveaux et la friabilité des situations, une époque d’instabilité sociale bien différente de celle de nos aïeux.
Adolescents : 60% souffrent d’anxiété projetée.
A l’observation du monde qui les entoure, les jeunes ont compris que grandir c’est aller vers moins de paix et de quiétude. C’est une nouvelle adaptation, car pour la génération précédente grandir permettait au final de créer stabilité, confort et foyer.
Dans cette jeunesse anxieuse, certains trouveront paix et stabilité dans leur évolution de vie mais beaucoup savent que ce qui les attend c’est un foyer éclaté, composé d’individus en lutte, en réparations et en combats.
Ce défi de construire un foyer est d’autant plus grand que l’on estime la durée de vie moyenne d’un couple à 6 ans. On peut parler de mobilité de couple, une personne aura en moyenne 5 couples et 15 partenaire différents (body count) tous genres et sexes confondus. Professionnellement aussi il y a du mouvement avec pas moins de 5 métiers différents au cours de la période d’activité.
Ainsi, le changement, l’évolution et la mutation deviennent des conditions sociétales et non plus des choix ou des conventions. Ce sont des tendances profondes.
Cette instabilité oblige à beaucoup de développement personnel, à savoir régulièrement se remettre en question. Par exemple, la réflexion sur la forme de couple que chacun veut demande réflexion avant, pendant, et après chaque relation.
Couple : une pluralité permanente de choix de partenaires.
En amour, le problème numéro 1 semble le choix, surtout en milieu citadin. A notre époque « débloquer de l’amour » est plutôt vu comme consentir à passer du temps, voir à se dédier à une personne. Or, faire ce choix c’est renoncer à l’ensemble d’autres éventualités possibles ! Et si il y avait mieux à faire ?
Qu’on se le dise, l’amour n’échappe pas à la vision et aux valeurs modernes. C’est un investissement matériel, physique, puis éventuellement un investissement émotionnel. Or à tout âge, pour peu que l’on décide de rester dans les codes de beauté ou de soin (good looking), et, si il n’y a pas de carence démographique, toute personne peut raisonnablement prétendre au choix. Au moins de façon virtuelle, il existe des réservoirs de personnes célibataires disposées (en surface) à créer une nouvelle relation et peut-être un nouveau foyer.
L’adaptation : la vie est faite de combats et de mutations personnelles.
On peut améliorer son destin, choisir chaque jour d’orienter ses choix sur une voie vertueuse. Et c’est déjà beaucoup.
L’engagement permet le sentiment de sécurité qui permet de lutter efficacement contre l’anxiété naturelle (besoin de sécurité). En effet la rupture, les changements de vie font peurs et angoissent avant même d’avoir eu lieu. Comme autant de défis à relever.
La vie moderne pousse à grandir, à muter, à se diversifier et à expérimenter plusieurs façons de s’accorder. Elle pousse nos âmes à évoluer, à grandir et tous ceux et celles qui se figent sur leurs anciens modes de pensée deviennent réactionnaires et aigris. Ils vieillissent plus vite.
Que peut-on en espérer après un coaching PerfectA ?
Augmenter sa motivation et sa combativité, gérer son énergie, se libérer de sa colère… Autant de points sur lesquels faire l’impasse complique trop la vie pour la rendre agréable même dans l’adversité.
Apprenez à évoluer légers, libérés et délivrés !
Comment travaille-t-on ce sujet de stress en coaching mental à PerfectA ?
Votre coach a à cœur d’apporter des réponses claires et adaptées à la clientèle exigeante qui nous contacte. Pour ce faire, il travaille principalement sur trois plans. Chaque plan est un pied du tabouret pour que vous puissiez vous asseoir de façon stable.
Sur le plan physique :
Le praticien s’assure qu’il n’y ait pas de blocage corporel et si c’est le cas, sans manipulation invasive on traite le problème. Viennent ensuite les blocages dus au manque d’activité physique et c’est là que le coach sportif sera d’une aide précieuse. En effet, un travail de mobilité et renforcement de la colonne vertébrale est souvent nécessaire dans ce cas.
Sur le plan émotionnel :
On recherche les points bloquants conscients en utilisant la préparation mentale et ses méthodes d’investigation. Les points inconscients sont aussi révélés par l’usage de techniques somato-émotionnelles car elles permettent une étude plus fine des perceptions, des ressentis. Débarrassons-nous de choses qui nous polluent.
Sur le plan mental :
Si besoin, on verbalise pour favoriser la prise de conscience et amener au changement. L’action supporte l’action. Pour une connexion plus étroite avec votre intimité et surtout vers plus encore d’épanouissement. Être conscient emmène plus loin que la destination initiale du voyage.
Pour PerfectA, Guillaume NOUËL, auteur, conférencier et coach des stress.