Quelle quantité de sucre consommer par jour ?

Article niveau 1 : facile à lire.

« Ne cherchons pas hors de nous notre mal il est chez nous dans nos entrailles. »
Montaigne.

Il y a des principes humains fondamentaux qui sont mal expliqués, or ils empêchent la réussite de la majorité.
Les client(e)s qui me font confiance me permettent d’œuvrer à la méthode PerfectA dont les résultats peuvent vous aider. Voici comment.
La consommation moyenne française de sucre est de 50g de sucre par jour et par personne. Il s’agit du sucre consommé en l’état (ajouté à domicile au yaourt ou incorporé dans un gâteau fait maison) et du sucre incorporé aux produits sucrés (sodas, biscuits, desserts lactés,…).

Décryptons dans ce nouvel article quelle quantité de sucre vous convient et apprenez à en distinguer les 2 types principaux. En effet, tous les sucres ne se valent pas tant en valeur nutritive que sur leurs effets dans votre corps.

Le sucre vecteur universel de plaisir et convivialité

Accéder au plaisir est un besoin pour chacun et le sucre en est, à notre époque, un symbole universel. Omniprésent sous différentes formes dans les fêtes, les lieux de convivialité, les écoles, les lieux de rassemblement, les aires d’autoroute…
Il est utilisé pour flatter nos papilles, ces puissants récepteurs sensoriels de la langue qui communiquent chimiquement avec tout le corps. Son pouvoir addictif est si fort qu’on le retrouve à des endroits insoupçonnés : confiseries en rayons entiers, sodas, biscuits, plats salés, médicaments et même dans les conserves de cornichon !

Rechercher le plaisir sain plutôt qu’abandonner le plaisir

La notion de plaisir semble indispensable pour les personnes qui sont en transition dans leur alimentation mais quand le palais est éduqué au sucre pour être heureux ou satisfait il est TRÈS compliqué de le reprogrammer. On parle d’addiction qui empêche de vous faire évoluer vers un mode de vie plus sain. Or, choisir de manger d’une façon adaptée à votre métabolisme c’est en moyenne trois ans de vie en plus (car nous sommes ce que nous mangeons).
De façon plus générale, il faut savoir que la consommation de certains produits vous conduira soit, à plus de ferveur de santé, soit à moins de mobilité et de vitalité. A vous de les (re)connaitre. Et donc apprenez, éduquez-vous, dépassez vos manquements, ouvrez-vous sincèrement ou résignez-vous. Vous devez choisir ce qui entre dans votre bouche. De ce fait, trier vos plats par types de sucres semble être un bon départ.

Sortir de la culpabilité et conserver du plaisir à s’alimenter

Logiquement, vous faites entrer dans votre vie moins de plats inadaptés par connaissance et par vigilance.
Par exemple, vous achetez une barquette de blanc de poulet pour son apport en protéine mais en lisant la composition indiquée au dos (en tout petit) : 85 pour cent de viande et donc 15 pour cent de autre chose dont amidon de blé (sucre), glucose (sucre). Aussi, cuire trop longtemps les aliments contenant de l’amidon telles que les pâtes, riz, haricots rouges fait augmenter leur index glycémique.
Or votre jauge de sucre admissible par jour est vite limitée, au risque par exemple, d’aller un peu plus chaque jour vers l’obésité. Et ce, malgré un comportement sans excès guidé par un appétit classique (écoutant votre satiété) et non pas une alimentation compulsive.
Le carré de chocolat noir à laisser fondre entre la dent et la gencive semble un idée appréciée, tout comme la substitution du sucre blanc par le xylitol.

Il y a des sucres qui sont vos alliés de la santé

Oui, certains sucres sont indispensables et doivent être apportés par l’alimentation ! Je pense notamment au sportif qui viennent me voir et ont besoin de ce carburant pour le corps. Par ailleurs, le cerveau fonctionne avec le glucose qui est transformé en adénosine triphosphate (ATP).
C’est le carburant de nos cellules et nos muscles aussi bien de ceux qui fonctionnent pour se mouvoir que ceux qui tournent en permanence de façon inconsciente comme le cœur et muscles de la cage thoracique, des paupières…
Pour vous aider utilisez ce site de composition nutritionnelle des aliments.

Savoir identifier les différents sucres

Pour pouvoir bien distinguer quoi manger, ils faut savoir distinguer 2 types de sucres.

Les sucres simples :
Les sucres simples ou rapides, c’est-à-dire les monosaccharides (fructose, glucose) et les disaccharides (saccharose ou sucre de table) qui sont des sucres ajoutés (plats préparés, sodas) ou naturellement présents (légumes, miel).

Les sucres complexes ou lents :
C’est à dire les glucides complexes sont de longues chaînes de plusieurs molécules de glucose, présents dans les aliments amidonnés que sont les féculents : céréales (riz, blé, maïs, seigle, avoine…) et produits céréaliers (pain, pâtes, polenta, biscottes, semoule…); légumes secs (lentilles, pois chiches, haricots secs…).
Attention à la cuisson : Tubercules riches en amidon, végétaux riches en fibres, viande. Elle rend les aliments plus digestes et bien plus énergétiques.

Comment le sucre en quantité inadaptée à notre personne devient-il du gras notre pire ennemi ?

En effet, rapidement, une partie du glucose est transformé par le foie en lipide. Ce lipide si il n’est pas utilisé pour bouger (activité physique) est stocké dans le corps sous forme de graisse. Or, c’est tout le sujet de cet article, la quantité énorme de sucre consommé par jour de façon quasi invisible pour le profane nous conduit à grossir ! Facilement on peut passer de 25g de sucres (6 cuillères à café) recommandé par jour par l’OMS à 5 fois cette dose. Ainsi, un fastfood léger le midi et une pizza simple le soir c’est vite fait et attention, sans chercher de grande quantité.  Le sucre est présent partout et en bien pus grande quantité que le gras. Pour vous donner une idée de l’ampleur du phénomène, rien qu’une conserve de cornichon en contient !
Pour conclure le sucre c’est du gras en préparation.

Que peut-on espérer après un coaching PerfectA ?

Accepter de ne pas mettre n’importe quoi dans sa bouche, c’est accepter de ne pas avoir n’importe quoi dans son corps. Or, si ce principe parait simple il semble pour beaucoup compliqué à mettre en place. Je vous aide à y voir plus clair pour que vous choisir ne soit plus un sujet de préoccupation dans votre vie.

Vous choisir c’est vous accepter.

Comment travaille-t-on ce sujet de stress en coaching mental à PerfectA ?

Votre coach a à cœur d’apporter des réponses claires et adaptées à la clientèle exigeante qui nous contacte. Pour ce faire, il travaille principalement sur trois plans. Chaque plan est un pied du tabouret pour que vous puissiez vous asseoir de façon stable.

Sur le plan physique :
Le praticien s’assure qu’il n’y ait pas de blocage corporel et si c’est le cas, sans manipulation invasive on traite le problème. Viennent ensuite les blocages dus au manque d’activité physique et c’est là que le coach sportif sera d’une aide précieuse. En effet, un travail de mobilité et renforcement de la colonne vertébrale est souvent nécessaire dans ce cas.

Sur le plan émotionnel :
On recherche les points bloquants conscients en utilisant la préparation mentale et ses méthodes d’investigation. Les points inconscients sont aussi révélés par l’usage de techniques somato-émotionnelles car elles permettent une étude plus fine des perceptions, des ressentis. Débarrassons-nous de choses qui nous polluent.

Sur le plan mental :
Si besoin, on verbalise pour favoriser la prise de conscience et amener au changement. L’action supporte l’action. Pour une connexion plus étroite avec votre intimité et surtout vers plus encore d’épanouissement. Être conscient emmène plus loin que la destination initiale du voyage.

Pour PerfectA, Guillaume NOUËL, auteur, conférencier et coach des stress.