Être autonome c’est différent que d’être indépendant(e)
Article niveau 1 : facile à lire.
« IPSÉITÉ : ce qui rend une personne unique, différente des autres. »
Il y a des principes fondamentaux qui sont mal expliqués or ils empêchent la réussite de la majorité.
Les clients qui me font confiance me permettent d’œuvrer à la méthode PerfectA dont les résultats peuvent vous aider. Voici comment.
Décryptons ici ce qui nous permet d’aller vers un sentiment important, celui de maitriser sa vie, de savoir naviguer avec. Certains l’assimilent à la liberté individuelle mais cela ne semble pas suffisant. Faisons ici un point simplifié de ce que sont l’autonomie, la puissance, l’indépendance, une connaissance qui doit se transmettre de génération en génération.
La curiosité de soi n’est pas un vilain défaut
Soyez explorateurs dans plusieurs directions, faites de nouveaux tests, tentez ce qui vous semble compliqué, réalisez vos propres œuvres plutôt que de chercher à savoir pourquoi ou comment arrivent et doivent se faire les choses.
Avec pour volonté première de permettre et nourrir le mouvement perpétuel de la vie. Souvent le résultat on ne peut ni le prévoir ni l’organiser car la proportion de ce que l’on connait est très faible comparée à l’immensité ce que l’on ne connait pas. Ce vide perpétuel on le découvre au fur et à mesure de ses avancées personnelles.
Comment faire pour se retrouver sans autonomie et sans indépendance
Souvent de façon consciente ou non les gens aiment être leader de leur environnement, être dans le contrôle. La plupart du temps par confort plus que par maitrise. Ils se fabriquent des raisons, des projections, des idéaux et des certitudes pour se sentir en sécurité dans leurs fonctionnements. L’effet principal est l’interdiction ou la limitation d’échanges et d’informations. C’est principalement ce qui ressort en consultation. C’est fascinant de voir comment l’humain est honnête quand il s’agit de tricher avec lui-même. Il le fait toujours de bonne foi, de bonne volonté et avec la véhémence de porter un projet plein de justice.
Autonomie et indépendance les deux faces d’une même pièce
Il existe deux notions à ne pas confondre : autonomie et indépendance.
Être autonome :
C’est connaître son corps, et savoir où aller chercher ses solutions. De quoi a-t-on besoin actuellement pour se sentir mieux ou pour continuer d’avancer ?
Cela sous-entend une capacité d’analyse particulière doublée d’une expérience empirique à 360°. On dit souvent que l’intuition c’est l’intelligence qui commet un excès de vitesse. En effet cette grande capacité d’exploration, cette richesse, s’est construite avec son lot inévitable d’erreurs, de luttes et d’égarements.
Être indépendant(e) :
C’est ne pas avoir besoin de quelqu’un d’autre, savoir s’isoler et se nourrir soi-même. On sait tout(e) seul(e) avoir accès à son autonomie. C’est une chimère qui a la dent dure et qui ne fonctionne que si l’on s’obstine à ne regarder que son nombril et en faire le tour encore et encore.
A mon sens aucune de ces 2 notions ne prévaut sur l’autre. Tout est question d’adaptation et de dosage. Par ailleurs, avoir l’aptitude d’aller de l’une à l’autre semble être une réelle liberté.
Pourquoi la majorité des individus finit-elle par mélanger ces 2 notions ?
Les personnes confondent, les notions précédentes car elles renvoient à la liberté individuelle et à l’autosuffisance (satiété).
Or, le fait d’avoir besoin d’une personne tierce pour créer une nouvelle réalité dans ses sensations, dans son corps ou pour répondre à un besoin, est une énergie qui nous fait marcher, chercher, rencontrer, expérimenter. Comme un musicien cherchant les autres membres de son groupe de musique. Souvent il croisera en route autre chose que ce à quoi il s’attendait au départ.
De même que la pénurie rend intelligent(e), logiquement, le manque pousse à la recherche. Or, quand l’énergie nous manque tous les subterfuges sont bons pour exprimer son ras-le-bol et son besoin de satiété immédiate. Et par conséquent, comment obtenir cette impression de complétude ? En niant toute ou partie de ses appétits.
La frustration et l’injustice comme leitmotiv de vie
Parfois la vie nous renvoie qu’en ayant tout bien fait, en s’investissant de la meilleure façon possible, on n’obtient pas le résultat escompté.
Et ce n’est pas l’aboutissement qui compte, mais bien le fait d’avoir manqué car comme nous l’avons vu il oblige à chercher et à progresser. Ainsi, remerciez le manque, remerciez la frustration d’exister en vous, remerciez la vie d’être imparfaite car paradoxalement elle vous oblige à l’être. Si vous avez faim c’est que vous êtes bien vivants et désireux(se) : c’est ça la fraicheur/jeunesse d’esprit.
A quoi servent l’autonomie et l’indépendance affective ?
À rencontrer notre liberté, celle d’être heureux. La vraie liberté c’est d’être heureux. La joie c’est de la liberté brute. Comme un enfant qui court sans but dans la cour d’école juste parce qu’il se sent vivant.
Courir après ses manquements, ses défaillances, c’est finalement courir à la résolution, la réparation des trous qui empêchent l’existence de notre liberté.
Et ainsi, on arrive à l’autonomie. Car on sait reconnaître quand on a besoin de l’autre. Ce qui nous rapproche de la sagesse et de l’humilité.
En réponse. L’autre accède à de l’empathie, c’est qui lui permet d’avoir une relation transactionnelle riche et pleine de bon sens.
La rejet de l’autre / De la dépendance affective
Non pas par méchanceté ou aigreur mais par volonté d’indépendance. C’est-à-dire se déparasiter du besoin d’accroche. Comme un veau sempiternellement attaché à la mamelle de la vache.
La notion de femme forte:
De la mama africaine, la working girl, la mère de famille nombreuse, la maman solo et plus récemment le néologisme de la femme célibattante… Les représentations sont nombreuses et chaotiques, mais toutes les cultures semblent s’accorder sur la particularité de statut de la femme seule qui avance dans la vie en combattante.
Et la puissance dans tout ça ?
Ici je voudrais introduire mes lecteurs à la notion de puissance, voisine du sujet ici abordé. Autant enlever ce mythe de votre esprit : la puissance ce n’est pas pousser le corps ou l’esprit à l’extrême.
Souvent on pense de la personne puissante qu’elle n’a besoin de personne or, la puissance c’est tenir la distance, progresser en permanence. Et, maintenir et alimenter ce niveau d’exigence vis-à-vis de soi n’est possible que dans l’échange avec d’autres acteurs majeurs de nos vies.
Pour être plus clair, il ne faut pas confondre puissance et coup d’éclat. L’un est structurel l’autre est éphémère. L’un traduit une qualité d’écoute de soi, l’autre une volonté circonstanciée.
Ne jamais se voir soi-même comme un Être aux contours finis
Une personne condamnée à mort en 2 lettres : Né.
Ainsi vieillir dans une forme de sagesse s’impose. Les secrets de la longévité s’apprennent avec les bobos du quotidien. A travers cette capacité d’adaptation, ce polymorphisme, on apprend à être capable d’exploiter son corps et de performer dans des efforts adaptés. Et donc, on conserve le plaisir de se surpasser ce qui nourrit plaisir et évolution de l’Être.
Que peut-on en espérer après un coaching PerfectA ?
Il faut prendre soin de conserver son souffle de vie. Cette même puissance ressentie par la voile qui se gonfle de vent.
Votre vertu se nourrit de votre autonomie et indépendance.
Comment travaille-t-on ce sujet de stress en coaching mental à PerfectA ?
Votre coach a à cœur d’apporter des réponses claires et adaptées à la clientèle exigeante qui nous contacte. Pour ce faire, il travaille principalement sur trois plans. Chaque plan est un pied du tabouret pour que vous puissiez vous asseoir de façon stable.
Sur le plan physique :
Le praticien s’assure qu’il n’y ait pas de blocage corporel et si c’est le cas, sans manipulation invasive on traite le problème. Viennent ensuite les blocages dus au manque d’activité physique et c’est là que le coach sportif sera d’une aide précieuse. En effet, un travail de mobilité et renforcement de la colonne vertébrale est souvent nécessaire dans ce cas.
Sur le plan émotionnel :
On recherche les points bloquants conscients en utilisant la préparation mentale et ses méthodes d’investigation. Les points inconscients sont aussi révélés par l’usage de techniques somato-émotionnelles car elles permettent une étude plus fine des perceptions, des ressentis. Débarrassons-nous de choses qui nous polluent.
Sur le plan mental :
Si besoin, on verbalise pour favoriser la prise de conscience et amener au changement. L’action supporte l’action. Pour une connexion plus étroite avec votre intimité et surtout vers plus encore d’épanouissement. Être conscient emmène plus loin que la destination initiale du voyage.
Pour PerfectA, Guillaume NOUËL, auteur, conférencier et coach des stress.