Le pouvoir du carré de chocolat (une mécanique similaire à la perte de poids et l’arrêt du tabac) |
Article niveau 2 : moyennement facile à lire
« Prenez le temps d’écouter au-delà de vos goûts. »
Laurent Rousseau.
Parlons ici de régime alimentaire versus sensations. 😉
Bien que peu de personnes le sachent, tous les aliments n’ont pas la même valeur pour notre organisme selon le moment, l’endroit ou encore notre état émotionnel !
Nous œuvrons à la méthode PerfectA dont je souhaite partager avec vous les résultats. Profitez-en !
A quel moment de la séance la prise de conscience se fait-elle ?
En effet, les mêmes ingrédients n’ont pas toujours les mêmes conséquences sur notre corps, alors que sur le principe on devrait pouvoir manger de tout et tout le temps !?
Pour l’anecdote, en recevant une séance d’énergétique en conscience, j’ai senti mon corps se raidir à l’évocation du chocolat. Un peu comme saisit de stupeur lorsqu’un véhicule manque de vous percuter alors que vous traversez la rue à pied.
Que pouvait-il bien se passer dans mon corps pour je capte du « néant », c’est-à-dire, une énergie qui m’empêche de nourrir de façon positive mes besoins ?
Que se passe-t-il pour que ce carré de chocolat (qu’habituellement j’affectionne tant) me fasse mal à ce point-là ? C’est-à-dire, excite mon système nerveux des pieds à la tête au point de me faire grincer des dents ?
Pourquoi le corps réagit-il parfois de façon aléatoire ?
Et bien j’ai menti à mon corps en lui faisant croire que je l’écoutais et que je répondais favorablement à son désir. Mais, en vérité, c’est une véritable gifle que je lui infligeais avec ce carré de chocolat, celui-là même qui pourtant m’accompagne depuis ma tendre enfance.
Rentrer de l’école en fin d’après-midi et, au goûter, prendre un morceau de pain, du beurre et un carré de chocolat a toujours été un réconfort.
Alors pourquoi par moment pouvais-je ressentir une telle souffrance en le mangeant et pourquoi sentir à ce point qu’il augmentait ma douleur physique au lieu de la diminuer ?
J’étais désemparé.
Comment se trouver dans la bonne émotion ?
En définitive, un peu comme la cigarette, tous les carrés de chocolat ne se valent pas.
Or, le problème n’est pas tant le produit que l’information que vous mettez dedans, votre sentiment dominant sur l’instant. D’où l’idée de manger en conscience ! N’y voyez pas une complication supplémentaire à votre vie, au contraire, libérez votre consommation en y portant de l’attention. Vous y gagnerez en qualité (le plaisir est immédiat et plus profond) et en quantité (la satiété arrive bien plus fort et plus tôt).
Assez simplement, le problème ce n’est pas le chocolat mais ce que vous ne vous dites pas. Ce qui ne passe pas. C’est-à-dire l’émotion, voire la souffrance que vous ne voulez pas, que vous n’osez pas vous avouer.
Ainsi, ce chocolat qui est parfois signe de réconfort devient un agresseur. Un hypertenseur. De sauveur il devient bourreau : celui qui ajoute à la souffrance de la souffrance. Ainsi, un carré n’est plus suffisant. Il en faut d’autres évidemment.
Comprenez bien, celui qui était un moment sympa devient celui qui creuse un peu plus encore ce vide abyssal. Ce manque, cet abandon intérieur, parfois passager.
Parallèlement, votre corps, ne sachant que faire de cette énergie la stocke pour plus tard.
Mais vous êtes satisfait(e) de lui, il a répondu à l’urgence du moment qui était… de se taire. Le chocolat passe de sa vertu de fournisseur d’énergie rapide à celle d’anti-dépresseur.
Comment trouver le bon driver qui vous fera changer vos habitudes ?
Vous l’aurez compris, le chocolat produit dans notre corps des hormones pour satisfaire notre égo. Du moins c’est l’illusion première que vous avez, que vous ressentez, et c’est ce qui vous soulage.
Pour parler simplement, vous n’avez rien comblé, vous n’avez rien changé.
Votre problème de base, celui qui vous fait tant mal est toujours là mais sans manifestation épidermique. Vous avez en fait ajouté au désordre un peu de désarroi… ou l’inverse.
Une part de votre esprit se dit : n’en fait rien, réclame seulement !
Prenez rendez-vous avec un thérapeute qui saura vous venir en aide. Il y aura toujours quelque chose à travailler, car, comme des antennes, nous sommes perpétuellement traversés par des milliers d’informations, concepts, stimuli…
Des résultats tangibles attendus dès les premières séances.
Ne laissez plus en vous un moment de déprime, un léger passage à vide, devenir une réalité cellulaire durable.
C’est stupide de subir un corps abîmé pour longtemps, parce que, vous n’aurez pas su ou voulu l’écouter vraiment.
Comment travaille-t-on ce sujet de stress en coaching mental à PerfectA ?
Votre coach a à cœur d’apporter des réponses claires et adaptées à la clientèle exigeante qui nous contacte. Pour ce faire, il travaille principalement sur trois plans. Chaque plan est un pied du tabouret pour que vous puissiez vous asseoir de façon stable.
Sur le plan physique :
Le praticien s’assure qu’il n’y ait pas de blocage corporel et si c’est le cas, sans manipulation invasive on traite le problème. Viennent ensuite les blocages dus au manque d’activité physique et c’est là que le coach sportif sera d’une aide précieuse. En effet, un travail de mobilité et renforcement de la colonne vertébrale est souvent nécessaire dans ce cas.
Sur le plan émotionnel :
On recherche les points bloquants conscients en utilisant la préparation mentale et ses méthodes d’investigation. Les points inconscients sont aussi révélés par l’usage de techniques somato-émotionnelles car elles permettent une étude plus fine des perceptions, des ressentis. Débarrassons-nous de choses qui nous polluent.
Sur le plan mental :
Si besoin, on verbalise pour favoriser la prise de conscience et amener au changement. L’action supporte l’action. Pour une connexion plus étroite avec votre intimité et surtout vers plus encore d’épanouissement. Être conscient emmène plus loin que la destination initiale du voyage.
Pour PerfectA, Guillaume NOUËL, auteur, conférencier et coach des stress.