Société malade, oui mais de quoi ?

Article niveau 1 : facile à lire.

« La normalité c’est une illusion dans le prisme du regard de l’autre. Ainsi, le problème ce n’est pas l’énergie. C’est la direction qu’elle prend. »
Guillaume NOUEL.

Il y a des principes fondamentaux qui sont mal expliqués or ils empêchent la réussite de la majorité.
Les clients qui me font confiance me permettent d’œuvrer à la méthode PerfectA dont les résultats peuvent vous aider. Voici comment.
Décryptons ici ce que certains appellent « le cancer de la société » qui s’exprime sous différentes formes. Plutôt que de les décliner toutes, je vais expliquer comment la logique de construction par le rejet s’est tellement développée qu’elle est devenue culturelle et recherche de nouveaux hôtes. De fait, cette forme de société entre en déclin car elle fait ses propres acteurs se départir de leurs racines et se rendre malades.

La logique de domination de l’autre est alimentée par la notion de rejet

Qu’il soit homme, femme, non genré, riche, pauvre, vieux, jeune, cultivé, habillé, nu, athée, agnostique, religieux, chevelu, barbu… Le fait de toiser l’autre, le rejet, la haine, la raillerie ne sont pas anodins.
C’est un loisir, un sport, que de fustiger, conspuer, rabaisser. Le français est râleur. Or, au-delà de la division évidente de l’ensemble de la société en groupes, castes, sous-castes et autres classifications cela provoque une énergie globale malaisante qui éclate égalité, liberté, fraternité. Ainsi, elle met une logique de distanciation mécanique et inconsciente entre les humains qui se côtoient.

Le besoin d’interdépendance entre les individus d’un peuple est sous-coté

Un apriori qui trouve ses fondements dans l’impression nombriliste de satiété personnelle. La logique est toujours la même, la sensation d’autosuffisance réclamant protection de cette situation., l’encercler de remparts alors même que ses fondements en réclament l’inverse. Pour se donner confiance, le cerveau est habile et met en avant des valeurs narcissiques réconfortantes de conquérant, de suprématie, de loyauté, de chevalerie, de protection du rang… Autant de pensées moyenâgeuses pour justifier son aveuglement spirituel. Comme toujours, la guerre c’est l’affaiblissement des pauvres et l’enrichissement des riches.

La société est malade, entrée en autophagie, elle se consume plus qu’elle ne s’expanse

L’autophagie c’est se consommer soi-même. Car, n’ayant plus d’ennemi externe à détruire, changer ou conquérir, le système à cause de son inertie séculaire, ne sait pas s’arrêter et propose à présent de s’attaquer à lui-même. C’est en ce sens que l’on peut parler de société malade, de cancer du peuple.

Or, à force de trouver en autrui le clou qui dépasse, le marteau intellectuel a fini par taper sur tout ce qui bouge, s’exprime, existe et vibre.
Cette force invisible pousse l’individu à écarter toute personne sur son passage tel un obstacle (réel ou perçu) à sa préoccupation du moment. L’individualité opportuniste ne va finalement s’arrêter et interagir qu’avec les humains qui lui sont utiles. Ainsi, elle s’intéressera plus à la fonction qu’à la personne. Cette logique raide et sans cœur explique nombre d’incompréhensions dont la baisse drastique de naissances ou le manque de respect de certains de nos dirigeants.

Problématique comment sortir de cette logique d’opposition permanente ?

De nombreuses grandes figures françaises ont tenté d’élever ce débat. Par exemple, Coluche en son temps parlait symboliquement de l’affrontement flics au travail et peuple revendicateur en disant que, dans le fond, c’étaient de pauvres gens qui affrontaient d’autres pauvres gens. Au sens où ils appartenaient finalement au même monde.
Je tiens à préciser que je ne fais pas d’angélisme. L’affrontement, la combativité, l’ordre et le respect sont des valeurs qui me sont chères et qui nécessitent des moyens de contorsion élevés pour exister dans le système animal dont nous faisons partie. Cependant, le recours systématique à l’opposition en préambule des relations est une gêne car elle ralentit, voir interdit, l’existence éventuelle de valeurs humaines fondamentales telles que l’écoute, l’attention et l’altérité.

Il ne faut sous-estimer personne

Quand on a une auto-confiance trop élevée, enfin surtout mal placée, on ne peut pas bien voir, on se relâche. Au sens où on perd ses capacités d’analyse, on ne voit plus les choses. Or, tout vient de là. Il faut toujours respecter l’autre, cela évite de hiérarchiser c’est-à-dire de mettre une distance, petit un, et secondement une prévalence. De fait la logique n’est pas altérée par un biais qui nous fait perdre toute humanité. C’est de l’anti-joie et de l’anti-conscience qui cumulées donnent de la peur brute.

Que peut-on en espérer après un coaching PerfectA ?

Faire quelque chose de bien dans l’intérêt de tout le monde. C’est à dire remplacer la valeur destructrice par la valeur ajoutée créatrice. Cela demande du temps (un peu), de l’écoute et au final on n’a même pas besoin d’être d’accord.

Les choses se font toutes seules. Incroyable.

Comment travaille-t-on ce sujet de stress en coaching mental à PerfectA ?

Votre coach a à cœur d’apporter des réponses claires et adaptées à la clientèle exigeante qui nous contacte. Pour ce faire, il travaille principalement sur trois plans. Chaque plan est un pied du tabouret pour que vous puissiez vous asseoir de façon stable.

Sur le plan physique :
Le praticien s’assure qu’il n’y ait pas de blocage corporel et si c’est le cas, sans manipulation invasive on traite le problème. Viennent ensuite les blocages dus au manque d’activité physique et c’est là que le coach sportif sera d’une aide précieuse. En effet, un travail de mobilité et renforcement de la colonne vertébrale est souvent nécessaire dans ce cas.

Sur le plan émotionnel :
On recherche les points bloquants conscients en utilisant la préparation mentale et ses méthodes d’investigation. Les points inconscients sont aussi révélés par l’usage de techniques somato-émotionnelles car elles permettent une étude plus fine des perceptions, des ressentis. Débarrassons-nous de choses qui nous polluent.

Sur le plan mental :
Si besoin, on verbalise pour favoriser la prise de conscience et amener au changement. L’action supporte l’action. Pour une connexion plus étroite avec votre intimité et surtout vers plus encore d’épanouissement. Être conscient emmène plus loin que la destination initiale du voyage.

Pour PerfectA, Guillaume NOUËL, auteur, conférencier et coach des stress.