Qu’est-ce que respecter le sens de la vie

Article niveau 2 : moyennement facile à lire.

« De toutes les passions, la seule vraiment respectable me parait être la gourmandise »
Guy de Maupassant.

Il y a des principes fondamentaux qui sont mal expliqués or ils empêchent la réussite de la majorité.
Les clients qui me font confiance me permettent d’œuvrer à la méthode PerfectA dont les résultats peuvent vous aider. Voici comment.
Décryptons ici ce qui semble nécessaire pour ne pas se perdre et savoir respecter la vie comme un cadeau, comme un sens, comme une apogée.
Attention, c’est un sujet hautement polémique donc si vous ne voulez pas être chahuté dans vos fondements (ce qui est désagréable) mieux vaut sélectionner un autre article. Comme toujours, le but n’est pas pour moi « d’avoir raison » mais de déclencher avec les bonnes questions ce qui vous permettra de structurer vos idées pour avancer.

L’interdépendance de l’être humain le conduit à être sociable

Être vivant c’est suffisant pour obtenir de l’égard et aussi en accorder à autrui. Certes, il peut sembler plus riche (et pas forcément moins dangereux) d’échanger avec des personnes de même niveau, mais en réalité toutes les interactions sont instructives ou intéressantes, souvent malgré elles.
Mais plus que d’échanger d’humain à humain, la préoccupation centrale des relations semble être : quel usage de la vie fait-on au quotidien ? Qu’en a-t-on compris d’une part et qu’est-on prêt à en comprendre encore ?

Les principes de base à respecter

Trouver un consensus sur des valeurs universelles entre différentes cultures, différents peuples et différentes régions du monde semble aléatoire.
On peut raisonnablement commencer par s’appuyer sur la pyramide des besoins de Maslow. Non pas qu’elle soit parfaite mais elle n’oublie pas l’essentiel de nos sociétés modernes.
Par conséquent, une vision claire de chacun des paliers qui composent ce triangle des besoins humains démontre que vous avez appris de la vie, du plus simple au plus compliqué à atteindre.

Pallier 1 : Besoin physiologique.
Pallier 2 : Besoin de sécurité.
Pallier 3 : Besoin d’appartenance.
Pallier 4 : Besoin d’estime.
Pallier 5 : Besoin de s’accomplir.

De même, pour nourrir profondément notre réflexion, on pourrait par exemple utiliser les 4 accords toltèques de Miguel Ruiz, Commentaires sur la vie de Jiddu Krishnamurti, Traité des 5 roues de Miyamoto Musashi ou plus largement la charte internationale des droits de l’homme.

Conséquence du respect de ces règles de base

Résultat  : votre esprit et votre corps naviguent dans une propension autrement plus grande de réussite et de résultats probants.
Vous accédez à la stabilité et l’opulence (le terme à la mode étant l’abondance) avec comme option la redistribution (it’s up to you).

L’exemple du doigt dans la porte :
A 4 ans, vous vous coincez le doigt dans une porte.
Puis à 8 ans, vous vous coincez le doigt dans une porte et vous avez de la douleur.
Ensuite vers 16 ans, vous vous coincez le doigt dans une porte, il se sectionne de façon irréversible.
Ainsi à 32 ans, vous avez expérimenté le manque d’un doigt pour vivre. Il est facile d’imaginer le manque que cela a pu être dans telle ou telle circonstance.

La morale de l’histoire :
En définitive, si vous aviez appris de votre expérience à 4 ou 8 ans, à aucun moment à 32 ans vous n’auriez de handicap. On peut dire que vous avez passé du temps à compenser l’absence de transformation de l’expérience. Simplement, un arbre avec de l’espace et un tuteur va s’épanouir majestueusement, de même, un nouveau-né sans prédateur survivra plus facilement.
A vrai dire s’enrichir des évènements est une responsabilité faite de choix personnels car la vie est une responsabilité individuelle. Si tant est que l’on considère que celle-ci vous appartient.

Le rôle de la douleur dans l’apprentissage

Tout le monde ne ressent pas la douleur au même niveau d’une part, ni aux mêmes endroits d’autre part.
Dans l’exemple de la porte j’ai pris soin de parler de la douleur car elle favorise la prise de conscience. Elle se bloque dans le corps et celui-ci cherche à la faire sortir par les cris, les pleures, la respiration… Et par-dessus on y interprète des sentiments comme la colère, la honte, la confusion et encore au-dessus on la justifie intellectuellement avec le rejet, l’ego, l’injustice…
A chaque fois que la douleur se présente il y a peu de réactions possibles : soit l’affrontement, soit la sidération, soit la fuite, soit le déni et l’oubli.

Si l’on devait n’extraire qu’un principe de base pour respecter la vie

Les principes de base que nous avons abordés dans cet article nourrissent votre mental, lui permettant d’expérimenter pour qu’il se déforme.
En définitive, l’interaction doit lui permettre de créer une nouvelle possibilité. Et c’est là tout le sujet de mes interventions.
Êtes-vous apte à vous laisser déformer ? En premier lieu en effaçant ce qui n’est pas juste dans telle ou telle situation (éviter la création de défauts). En second lieu en vous laissant pénétrer par de nouvelles idées appropriées (création de qualités/aptitudes) ?
Ainsi votre profil, ou plutôt le caractère que vous présentez à autrui devient varié.

Peut-on évoluer rapidement ?

C’est un processus qui demande répétition comme tout apprentissage. A terme, il fait de vous non pas une personne différente, car à l’âge adulte la plupart de vos appétences sont définitivement marquées, mais plutôt un individu augmenté.
Pour que l’individu garde la forme que l’on veut pour lui il faut un rappel à l’ordre, au dogme permanent, pour conditionner et empêcher son esprit d’avoir des pensées divergentes.

Les gens s’adaptent ce qui donne l’illusion d’appartenance au groupe

Ainsi, pour une même expérience de vie les individus pensant s’identifier à un groupe sont en réalité toujours différents. Certes, il y a des mimétismes, des syllogismes de pensées, des adaptations mais l’individu ne se dilue pas réellement dans la masse dont il fait partie. Concrètement, il reste lié mais pas aliénable car des mécanismes profonds et internes l’en empêchent raisonnablement. Même avec le désir profond de ressembler à telle ou telle personne, soit par la forme, soit par le vocabulaire, le code vestimentaire ou la capacité de transformation de telle ou telle expérience, l’humain reste incapable de modifier son caractère, qui au mieux se met en pause quelques instants pour ressortir plus tard.

Que peut-on en espérer après un coaching PerfectA ?

Respecter les lois de la vie c’est être capable de supporter un cadrage permanent.

Comment devenir le héro de sa propre vie ?

Comment travaille-t-on ce sujet de stress en coaching mental à PerfectA ?

Votre coach a à cœur d’apporter des réponses claires et adaptées à la clientèle exigeante qui nous contacte. Pour ce faire, il travaille principalement sur trois plans. Chaque plan est un pied du tabouret pour que vous puissiez vous asseoir de façon stable.

Sur le plan physique :
Le praticien s’assure qu’il n’y ait pas de blocage corporel et si c’est le cas, sans manipulation invasive on traite le problème. Viennent ensuite les blocages dus au manque d’activité physique et c’est là que le coach sportif sera d’une aide précieuse. En effet, un travail de mobilité et renforcement de la colonne vertébrale est souvent nécessaire dans ce cas.

Sur le plan émotionnel :
On recherche les points bloquants conscients en utilisant la préparation mentale et ses méthodes d’investigation. Les points inconscients sont aussi révélés par l’usage de techniques somato-émotionnelles car elles permettent une étude plus fine des perceptions, des ressentis. Débarrassons-nous de choses qui nous polluent.

Sur le plan mental :
Si besoin, on verbalise pour favoriser la prise de conscience et amener au changement. L’action supporte l’action. Pour une connexion plus étroite avec votre intimité et surtout vers plus encore d’épanouissement. Être conscient emmène plus loin que la destination initiale du voyage.

Pour PerfectA, Guillaume NOUËL, auteur, conférencier et coach des stress.