La méthode perfectA suite à un accident cardiaque

Article niveau 2 : moyennement facile à lire

« Ne consommons plus la vie, savourons-là.« 

De la collaboration avec le corps médical.

Dans son analyse des problématiques liées, non pas au covid-19, mais à la cigarette électronique un professeur de médecine a rappelé :
« Quand on fait de la science il faut décomposer les problèmes. »
En effet, un des principes fondamentaux en médecine est de séquentialiser les problèmes pour mieux les trier.
https://www.youtube.com/watch?v=QTatAySSBBM

En d’autres termes fragmenter, disséquer, analyser point par point, permet d’ouvrir de meilleurs résultats. Tout du moins améliorer les chances probantes de meilleurs résultats.

La part médicale ne me revient évidement pas, mon travail est périphérique, en partenariat avec le corps médical. Dans une synergie collaboratrice au service du malade.

Dans les faits : Ce sur quoi on ne s’attarde pas.

En déplaçant les gens de force dans un mode de vie qu’ils n’auraient jamais choisi, la maladie les coupe (a priori) de leurs moyens de subsistance… De qui ils sont. De qui ils ont été jusqu’à présent.
En effet, l’esprit (ou le cerveau je ne sais pas) a ce coté hâtif, cette envie de tirer des conclusions, ce besoin de tirer des évidences. Des syllogismes rapides. C’est exactement cela que l’on combat lors de la séance de coaching : apporter de la nuance pour plus de resilience.

Programme 1 : Résultat; beaucoup de clients arrivent à mon cabinet avec une forme latente de déprime. De fait, ils viennent avec une certaine amertume parce qu’ils ne trouvent pas de solution par eux-mêmes (en y ayant pourtant mis de la bonne volonté). Cette accumulation d’échecs conduit « raisonnablement » le client à cet état fataliste et désabusé. Or, de mon point de vue, la raison n’est ni suffisante ni salvatrice pour appréhender la globalité d’une situation. Il s’agit alors de remettre du cœur là où il n’y en pas, là où il n’y en a plus. Du cœur à l’ouvrage, du cœur à vivre et du cœur à faire. En définitive satisfaire ce besoin simple du cœur à soutenir la vie, sa vie, celle que l’on aimerait au fond de soi.

Programme 2 : Le patient du médecin, le client du préparateur mental, se retrouve bien souvent dans une dichotomie dure à éprouver. Etre forcé de changer. Changer ses habitudes, ses modes de consommation, ses appétences. Et ce, non pas par choix, mais par obligation. Alors, il devra faire face à son impuissance et par conséquence, à sa colère. Qui de lui ou de sa maladie aura raison ? Qui gagnera ce combat ? Ce combat pour la vie ?

Apporter de la satisfaction.

Ces états d’âme ou du corps, chaque jour, est une conclusion thérapeutique qui m’enchante. Reproduire des gestes et des attitudes qui restaurent le client avec lui-même au quotidien.
Quand la maladie casse quelque chose en vous, il est difficile de sortir du syndrome bien connu de la victime qui devient le bourreau. C’est un cercle incessant et épuisant pour le client. Il y a un point équilibré et nourrissant à trouver entre ces deux extrêmes qui se renvoient la balle.

Conclusion : Laissons le temps au temps… mais soutenons le

En premier lieu, mettre toutes les chances de son coté pour une douce mais sérieuse progression. Les choses subtiles exigent du temps. Ne surestimez pas l’importance de la rapidité, les choses essentielles sont souvent infiniment lentes.
L’introspection permet de savoir ce que chacun a dans le ventre. A mon sens il n’y a pas mieux pour se sentir solide et rassembler ses forces dans cette période qui pourrait n’être que trouble.
En effet, j’ai pu constater qu’il est inhabituel pour ma clientèle d’aller au-delà du premier réflexe d’autodéfense, ce rejet épidermique. Ainsi, le malade en rémission fini par baisser les bras face à ce qui lui apparaît comme une fatalité, quelque chose qu’il lui serait pourtant possible de surmonter. Même si souffrir est inévitable il n’est pas nécessaire.

Parce qu’au-delà, il peut se passer des choses qu’aucun n’a regretté de faire monter à sa conscience.

Comme une évidence un peu évasive devenue claire avec des contours francs et dessinés.

Comment travaille-t-on ce sujet de stress en coaching mental à PerfectA ?

Votre coach a à cœur d’apporter des réponses claires et adaptées à la clientèle exigeante qui nous contacte. Pour ce faire, il travaille principalement sur trois plans. Chaque plan est un pied du tabouret pour que vous puissiez vous asseoir de façon stable.

Sur le plan physique :
Le praticien s’assure qu’il n’y ait pas de blocage corporel et si c’est le cas, sans manipulation invasive on traite le problème. Viennent ensuite les blocages dus au manque d’activité physique et c’est là que le coach sportif sera d’une aide précieuse. En effet, un travail de mobilité et renforcement de la colonne vertébrale est souvent nécessaire dans ce cas.

Sur le plan émotionnel :
On recherche les points bloquants conscients en utilisant la préparation mentale et ses méthodes d’investigation. Les points inconscients sont aussi révélés par l’usage de techniques somato-émotionnelles car elles permettent une étude plus fine des perceptions, des ressentis. Débarrassons-nous de choses qui nous polluent.

Sur le plan mental :
Si besoin, on verbalise pour favoriser la prise de conscience et amener au changement. L’action supporte l’action. Pour une connexion plus étroite avec votre intimité et surtout vers plus encore d’épanouissement. Être conscient emmène plus loin que la destination initiale du voyage.

Pour PerfectA, Guillaume NOUËL, auteur, conférencier et coach des stress.